La monnaie officielle de Cuba s’appelle le Peso Cubain (CUP), dont la valeur est équivalente au dollar nord-américain, divisé en 100 centimes.
Il y a des billets de 1, 3, 5, 10, 20 et 50 pesos convertibles et des pièces de 1, 2, 5, 20 et 40 cents et 1 pesos.
Le peso convertible (CUC$), communément appelé chavito, est la seconde monnaie officielle de Cuba, l'autre étant le peso cubain mentionné ci haut.
Le peso convertible (CUC$) a été limité en usage depuis 1994, date à laquelle il a été considéré comme l'équivalent du dollar américain. Dix ans plus tard, le 8 Novembre 2004, le dollar américain a cessé d'être accepté dans les commerces aux détails cubains pour laisser place au peso convertible comme la seule monnaie en circulation dans de nombreuses entreprises cubaines.
Officiellement échangeable dans le pays, sa valeur est actuellement rattachée à 1,08 $ US. Le peso convertible est, par le taux de parité fixe, au dixième rang valeur de l'unité monétaire dans le monde et la plus haute valeur peso unité. À Cuba, les chèques de voyages peuvent êtres échangés contre des billets dans les hôtels, à l'exception des chèques qui sont émis par des banques américaines. Les cartes de crédit sont également acceptées dans presque toutes les installations touristiques. Il n’y a pas de difficultés à payer avec les principales cartes de crédit: Visa, MasterCard, Eurocard, Diners Club, à l'exception, encore une fois, de celles émises par les banques américaines telles que American Express.
À Cuba, les heures d’ouverture des banques sont de 09:00 à 15:00.
Le peso cubain convertible (ISO 4217 code: CUC, parfois CUC$), est une des deux monnaies officielles de Cuba (l'autre étant le Peso cubain CUP). Souvent connu sous le nom de chavito, son usage est limité depuis les années 1990, période à laquelle il était considéré comme équivalent au dollar US. Le chavito est adopté comme monnaie officielle de Cuba, le 8 novembre 2004. Officiellement, il ne peut être échangé que sur le territoire cubain, 1 CUC valant approximativement $1,08.
La monnaie est divisée en pièces de 1, 5, 10, 25, 50 centavos , 1 peso et 5 pesos (la pièce de 1 centavo a été introduite en 2000, et celle de 5 pesos est très rare). Les billets en circulation sont de 1, 3, 5, 10, 20, 50 et 100 pesos convertibles
Les Billets Pesos Convertibles CUC Les pièces Pesos Convertibles Les Billets Pesos Cubain CUP
Dimanche 7 Novembre 2010
1 Euro = 1.29967 Cuba - Convertible Peso
1 Cuba - Convertible Peso (CUC) = 0.76943 Euro (EUR)
LE POURBOIRE À CUBA
Plusieurs restaurants cubains incluent le 10% du service dans la facture, mais il est plus convenable de laisser quand même un pourboire sur la table, généralement entre 2 et 5$ ou son équivalent en peso cubain ou chavito.
Comme l’ensemble des Etats de la région des Caraïbes, Cuba connaît une saison cyclonique, qui s’étend de mai à novembre. En raison des perturbations climatiques susceptibles d’affecter la zone Caraïbes, il est fortement recommandé aux voyageurs de se renseigner auprès de leur agence de voyages ou de leur compagnie d’assurance, s’agissant des modalités de prise en charge de leur séjour à Cuba dans le cas où leur vol de retour serait annulé pour cause de force majeure (telle qu’une catastrophe naturelle).
Les personnes en voyage à Cuba sont instamment invitées à :
suivre l’évolution des ouragans sur le site du National Hurricane Centerà Miami (www.nhc.noaa.gov) ;
se conformer aux recommandations qui seront données sur le site de ce ministère à la rubrique "Ouragans" ;
être attentifs aux informations et respecter les consignes que diffuseront les autorités cubaines, qui sont également reprises par les hôtels et les voyagistes.
En cas de difficulté sur place, il est recommandé de prendre contact avec l’ambassade.
Depuis le 1er mai 2010, une assurance médicale est exigée par les autorités cubaines pour les voyageurs se rendant à Cuba. Il est fortement recommandé à nos compatriotes de vérifier qu’ils ont souscrit une telle assurance. Les voyageurs qui ne seront pas en mesure de produire cette attestation devront souscrire cette assurance à leur arrivée à Cuba auprès d’une agence cubaine.
Comme l’ensemble des Etats de la région des Caraïbes, Cuba connaît une saison cyclonique, qui s’étend de mai à novembre. En raison des perturbations climatiques susceptibles d’affecter la zone Caraïbes, il est fortement recommandé aux voyageurs de se renseigner auprès de leur agence de voyages ou de leur compagnie d’assurance, s’agissant des modalités de prise en charge de leur séjour à Cuba dans le cas où leur vol de retour serait annulé pour cause de force majeure (telle qu’une catastrophe naturelle). Les personnes en voyage à Cuba sont instamment invitées à respecter les consignes diffusées par la Protection civile cubaine, qui sont également reprises par les hôtels et les voyagistes. En cas de difficulté sur place, il est recommandé de prendre contact avec l’ambassade.
Forte recrudescence de la petite délinquance qui se traduit par des vols à l’arraché; parfois accompagnés de violence, plus particulièrement dans les lieux touristiques de La Havane (Vieille Havane et Malecon) et dans la ville de Santiago de Cuba.
En conséquence, il est recommandé de laisser, dans la mesure du possible, ses documents d’identité et de voyage ainsi qu’une partie de ses liquidités dans le coffre de l’hôtel.
Il est conseillé de faire une photocopie du passeport pour justifier de son identité en cas de contrôle et de ne le présenter que pour retirer des liquidités à la banque.
Une vigilance toute particulière doit par ailleurs être portée aux cartes bancaires car le paiement par carte se fait sans obligation préalable de taper le code secret, ce qui facilite les usages frauduleux en cas de vol.
Il est fortement déconseillé de prendre des auto-stoppeurs, très nombreux sur les routes cubaines.
L’introduction sur l’île d’appareils tels que téléphones satellitaires, GPS ou lecteurs de DVD est strictement réglementée. Ces matériels sont généralement retenus à la douane pour être restitués à leurs propriétaires à la fin de leur séjour. Il est recommandé aux voyageurs dont les appareils auraient été retenus à leur arrivée à Cuba de bien vouloir en informer systématiquement l’ambassade.
Infrastructure routière
Routes principales dans un état moyen. Routes secondaires en mauvais, voire très mauvais état : certaines ne sont que des pistes uniquement praticables en véhicules tout terrain. Attention à l’essence : les stations services sont parfois espacées de plus de 100 kms, se méfier de la qualité en dehors des grandes agglomérations. Il est très fortement déconseillé de circuler la nuit (obstacles nombreux sur les routes, absence d’éclairage de nombreux moyens de transport).
En cas d’accident, prendre immédiatement l’attache du poste de police le plus proche et aviser l’ambassade de France à la Havane. Si l’on dispose d’une assurance voyage, contacter immédiatement Assistur, seul organisme représentant les sociétés d’assistance étrangères (Tél. : 33.88.59/ 33.80.87). La souscription d’une assurance tous risques est fortement recommandée. Lire très attentivement le contrat d’assurance voiture.
NB : Les compagnies d’assurances des voitures de location n’assurent pas contre le vol des roues de secours et des auto-radios ni contre les accidents provoqués par des animaux traversant les routes, qui sont nombreux.
Il est interdit aux touristes étrangers d’utiliser les taxis privés et de se faire transporter par des voitures particulières.
Transport aérien
Flotte composée essentiellement de vieux appareils d’origine russe. Les compagnies cubaines disposent cependant sur les lignes internationales d’Airbus et d’ATR sur les réseaux régionaux et intérieurs. Toutefois, au cours des cinq dernières années, ces compagnies ont connu quatre accidents graves, dont le dernier en 2002.
La compagnie Cubana de Aviacion exige la reconfirmation des réservations de retour. Celle-ci doit impérativement être faite plus de 3 jours ouvrables avant la date du retour. Cette compagnie a par ailleurs tendance, surtout au niveau régional, à différer voire à annuler ses vols sans préavis.
Pour un séjour de trente jours maximum :
Carte touristique délivrée contre paiement, par le consulat de Cuba à Paris et les tours opérateurs français agréés par les autorités cubaines.
Une taxe de 25 Pesos cubains convertibles (CUC) doit être acquittée au départ.
Veiller à ne pas dépasser la durée du séjour maximum de 30 jours, ne serait-ce que d’une journée, sous risque d’incarcération par les services de l’immigration.
Pour de plus amples informations, prendre l’attache de l’ambassade de Cuba à Paris, adresses des missions étrangères en France (sur le site de la Maison des Français de l’étranger).
Recommandations générales
Aucun vaccin n’est exigé. Il est déconseillé de consommer l’eau du robinet. Les pharmacies étant souvent en rupture de stocks, il est recommandé de se munir d’une trousse basique de médicaments. Les personnes allergiques doivent se munir d’un antihistaminique puissant. Les produits répulsifs anti-insectes sont très fortement conseillés.
Cliniques internationales dans toutes les capitales de province.
Consulter le médecin traitant avant le départ et contracter une assurance de rapatriement sanitaire.
Dengue :
Cette maladie virale est transmise par les piqûres de moustiques et se manifeste le plus souvent par un syndrome grippal (fièvre, douleurs musculaires, parfois éruption cutanée). Il convient donc de respecter les mesures individuelles de protection et ce, y compris la journée : vêtements longs, produits anti-moustiques à utiliser sur la peau et sur les vêtements, diffuseurs électriques. La dengue pouvant prendre une forme potentiellement grave il est vivement recommandé de consulter un médecin en cas de fièvre. La prise d’aspirine est déconseillée. Par ailleurs, il n’existe pas de traitement médicamenteux préventif contre la dengue.
Numéros utiles
Services réservés aux étrangers :
A la Havane : Hôpital Cira Garcia, Rue 20 Coin Av.41 nr. 4101 Playa. Tél.: 204.26.68 /204.24.89
Pharmacie internationale située en face de cet hôpital.
Pour de plus amples renseignements, vous pouvez consulter le site de l’INVS, ainsi que celui de l’OMS, qui vous renseigneront sur l’état sanitaire de ce pays, ou les sites de l’institut Pasteur de Lille et del’institut Pasteur de Paris.
Législation locale
Détention de drogues lourdement punie par la loi (pouvant aller jusqu’à la peine de mort en cas de trafic).
Relations sexuelles avec des mineurs de moins de 16 ans très sévèrement réprimées (peines de prison allant de 7 à 20 ans).
En cas d’accident de la route ayant des conséquences graves, le responsable peut être retenu, voire emprisonné, à Cuba jusqu’à l’expiration de la procédure judiciaire - qui peut s’avérer très longue - et au-delà s’il y a condamnation à une peine de privation de liberté.
Divers
Les touristes qui choisissent la destination de Cuba sont invités à bien analyser les clauses des contrats et à s’assurer que le tour opérateur prendra bien en charge les éventuels surcoûts dus à des prolongations de séjour du fait de phénomènes naturels tels cyclones ou ouragans.
Le coût de la vie à Cuba est élevé pour les étrangers (au moins équivalent à celui de la France). Les transactions en liquide s’effectuent depuis le 8 novembre 2004 en pesos convertibles cubains, les dollars n’étant plus autorisés pour ce type d’opérations. Les personnes se rendant à Cuba doivent se munir d’euros et non de dollars, afin de ne pas avoir à payer la taxe de 10% exigible à l’achat de pesos cubains convertibles contre des dollars. Se munir de moyens de paiement suffisants en sachant que les transferts d’argent sont longs et difficiles.
Selon la loi, les objets d’art, tels que peintures ou livres anciens (même s’ils ont été acquis sur les marchés artisanaux), ne peuvent être exportés que s’ils sont accompagnés d’un certificat délivré par l’administration cubaine des "biens culturels".
Change de devises et retraits
Deux monnaies sont en circulation à Cuba :
Le peso cubain non convertible, monnaie utilisée par les Cubains pour leurs achats et qui n’a pas cours dans les hôtels, les supermarchés, les musées, la plupart des boutiques, etc.
Le peso cubain convertible (CUC) qui est la seule monnaie utilisable par les étrangers.
Les touristes ne doivent en aucun cas avoir recours au change parallèle. Toute personne en possession de devises étrangères qui veut acheter des pesos convertibles doit systématiquement s’adresser aux organismes bancaires agréés et ne jamais s’en remettre à un particulier ou un tiers.
Plusieurs cas d’escroqueries ont été relevés récemment. Les escrocs proposent leurs services et remettent à nos compatriotes une contrevaleur en peso non convertible avec laquelle ils ne pourront pratiquement rien faire, et que par ailleurs ils ne pourront pas rechanger.
Eviter les retraits aux distributeurs automatiques de billets qui délivrent des pesos convertibles non négociables hors de Cuba. Les pesos convertibles devront être changés en devises avant le départ car ils ne sont pas convertibles en dehors du territoire cubain. Aucun des moyens de paiement American Express n’est accepté à Cuba.
Pour les appels locaux, dans les hôtels et restaurants, vous trouverez des cabines téléphoniques au coût de cinq cents. Si vous voulez communiquer avec une autre province, vous devez composer le 0 avant le code et du numéro de l'abonné. Pour toute question n’hésitez pas à consulter la téléphoniste de l’hôtel. Il faut prendre compte que les appels effectués depuis l’hôtel occasionnent normalement des suppléments plutôt élevés.
Si vous désirez effectuer un appel à Cuba avant votre départ, dans les préparatifs de votre voyage à Cuba, le code téléphonique du pays est le 53. Si vous désirez communiquer avec quelqu’un à la Havane, le code de la ville est le numéro 7. Alors par exemple, si vous téléphonez depuis le Canada, vous devrez faire 011-53-7- et le numéro local de la personne à rejoindre. Las Nuevitas (autre région cubaine) est accessible grâce au code 32 à la suite du code national.
INTERNET
Le régime cubain fait de son mieux pour maintenir ses citoyens en dehors du réseau Internet. La vente de matériel informatique est strictement réglementée, l'accès à Internet est contrôlé, et l’usage de la messagerie électronique est surveillé de près. Chercher quelque chose sur Internet peut s'avérer dangereux. Les actes d'accusation de la plupart des journalistes emprisonnés en mars 2003 contenaient des références à leur activité Internet. Cuba est la plus grande prison pour les journalistes puisque la liberté d'expression est strictement interdite. Le gouvernement prend soigneusement l'actualité en charge car c’est lui qui décide de l’information diffusée à ses citoyens, évidemment sans tolérer aucune presse indépendante. Le gouvernement a une position contradictoire sur Internet. Il forme des milliers (près de 30 000, selon certaines statistiques) d'étudiants dans les nouvelles technologies. En contrepartie, il empêche la grande majorité de la population d'avoir accès en ligne. Les autorités qualifient Internet comme "la grande maladie du XXIe siècle. Cuba fait partie des10 pays les plus répressifs en ce qui concerne la liberté d'expression en ligne. Internet est réservé à l'élite au pouvoir. Mais même les quelques privilégiés n’ont accès généralement qu'à un Intranet spécialement créé et filtré par les autorités.
Les Cubains ont trouvé des moyens de contourner le gouvernement de la censure omniprésente, par l'achat d'un accès Internet sur le marché noir ou de partager les quelques connexions autorisées. Néanmoins, le gouvernement punis sévèrement tout usage "illégal" de la Web.
Les restrictions matérielles sont le principal obstacle qui empêche l'Internet d'atteindre le grand public. D'une part, il n'y a que six lignes téléphoniques pour cent habitants. D’autre part, le coût prohibitif des appels téléphoniques internationaux (deux dollars par minute pour les États-Unis) et la rareté des lignes internationales empêchent les personnes d'utiliser un fournisseur de services Internet basé à l'étranger.
La messagerie électronique
Les Cubains ont été en mesure d'utiliser un système de messagerie électronique grâce au service ETEC SA points d'accès depuis Septembre 2001, sans connexion à Internet. Trois heures d'accès à ce service - valable pour une seule personne – coûtent 3,5 Euros (un tiers de la moyenne cubaine du salaire mensuel d'environ 10 euros). L'utilisateur doit établir l'identité, remplir un long formulaire et donner son adresse. Le fournisseur de services Internet est en mesure de surveiller tous les messages avant qu'ils ne soient envoyés ou reçus. Selon les chiffres officiels, Cuba dispose actuellement de 480 000 boîtes de messagerie.
Sauf s'ils ont une autorisation officielle, les Cubains ne peuvent pas accéder à l'Internet à partir d'un point d'accès public. L'Internet est disponible uniquement pour les touristes - à au prix exagéré d'environ 6 euros de l'heure - dans les hôtels et quelques cafés Internet.
Le gouvernement a mis en place divers Centre Internet - généralement dans les bureaux de poste - où les Cubains peuvent accéder à leurs emails. Ils ont aussi créé un Intranet appelé Tu Island (Votre Île), composé de sites Web choisis par les autorités, y compris les sites des stations de radio de télévision où se diffusent leur propre information.
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